La Voix
(Stéphanie Quastana) chaleureusement gouailleuse et « torridement » communicative, elle peut voler du premier rang au dernier sans laisser personne indifférent… Munie de plusieurs cordes tabagineuses et d’un souffle puissant, La Voix vous fera peut-être rire pleurer, vibrer, voyager dans le temps.Consomme du brut, du doux, du mi-salé.
Garantie incassable.
Attention : ne jamais laisser se dessécher !
Les Vents
Clarinette et saxophone (Jonathan Delachaux) chaleureux mais bavards, ne comptent pas leurs notes. Des physiques variables allant du bois d’ébène au métal le plus blanc, mesurent entre 28 cm et 320 cm selon les jours.. Parlent couramment le gipsy, le punk, ou l’hindi digital folk beat (un patois obscur)
Aiment s’habiller d’électronique mais ne rechignent pas à être tout nus.
Les Cordes
Guitare (Samy Dib) chatouilleuse et munie d’une joie toute communicative, cette cithare moderne à six cordes vous surprendra par ses discours argumentatifs, ses envolées glossolaliques, ses désaccords éthyliques et ses danses phalliques. Il suffit de l’entendre une fois pour vouloir en jouer à son tour.
Son origine ? Quelque part entre le Liban et Madagascar, à vérifier..
Contrebasse (Nicolas Penz) Qui n’a jamais rêvé de prendre son armoire en vacance avec soi ? Ce meuble plein d’enjolivures mais d’une étonnante profondeur vous donnera une entière satisfaction. Même s’il a l’air plein de vide, il possède véritablement une âme. (techniquement il en a même deux). Avec ses airs graves il sait vous suivre dans tous vos délires grâce à une (ou deux) ouïes très développées.
Attention : peut potentiellement donner des coups de piques et corner les doigts !
Guitare (Alexandre Saintives) attaquée sans cesse par une main droite de fer, elle ne se laisse jamais dévier de sa trajectoire unique : garder le rythme et le communiquer à qui de droit. De facture généralement manouche, malgré quelques excursions dans des modes plus rock’n’roll, elle fera défiler les grilles au kilomètre sans jamais ralentir et en évitant tout accident.
Batterie (Florent Tissot) Il faut souffrir pour être beau ;
pour ce faire, le mieux est de s’en prendre plein la gueule ! Coups de pieds, coups de gueule, de balais, de baguettes…
sans jamais perdre un certain sourire narquois et juvénile (c’est le benjamin des instruments).
Attention aux excès, les peaux restent fines et soyeuses.